L’agence ComCorp accueille un nouveau Directeur du Développement

Alban Virey - ComCorp

ComCorp, agence conseil en réputation des marques et des entreprises, étoffe son équipe de direction avec l’arrivée d’Alban Virey, en tant que Directeur du Développement, sous la responsabilité de Marie-Hermine Cohen Boyer, Vice-Présidente.

Alban sera notamment chargé d’accompagner la montée en puissance de ComCorp sur les enjeux de la réputation des entreprises et des marques, assurera la relation avec les annonceurs et l’animation des compétitions en lien avec les équipes d’experts de l’agence.

« C’est avec un immense plaisir que j’intègre l’agence ComCorp dont je partage les valeurs et la vision. Les problématiques de réputation sont au cœur des enjeux des entreprises. Elles ont depuis longtemps bouleversé la relation au consommateur mais également la relation entre un annonceur et son agence ! ComCorp a aujourd’hui toutes les clés pour développer et protéger cette réputation si difficile à bâtir et je suis très heureux de pouvoir participer à son développement. » précise Alban Virey.

Charles de la Rochefoucauld souligne « Nous nous réjouissons de cette arrivée qui confirme la volonté d’accélérer la croissance de l’agence dans une démarche de conseil à très haute valeur ajoutée. Alban dispose de l’expertise, de l’expérience et des qualités humaines nécessaires pour participer au développement ambitieux de l’agence ».

Après des études de sociologie de la communication et des médias, et un master 2 en relations économiques Euro-Asiatiques, Alban a accompagné pendant 5 ans l’agence Wellcom en tant que Responsable du développement, puis il a rejoint FamousGrey en qualité de Directeur du développement durant 3 ans. Il était précédemment Directeur du développement de La Nouvelle.

Bonne nouvelle vs Mauvaise nouvelle

Une étude internationale montre que la mauvaise nouvelle reste prépondérante par rapport à la bonne nouvelle dans le traitement fait de l’actualité par les media. Différentes agences du réseau international WIN PR Group ont ausculté les media dans leurs pays respectifs et ont constaté que l’angle retenu par les rédactions reste très souvent anxiogène.

Les trains qui arrivent à l’heure ne font toujours pas la Une

Le constat est sans appel, que vous soyez en Allemagne, en Espagne, en France, au Mexique, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni, la consultation de l’actualité que ce soit en presse, à la radio ou à la télé risque fort de vous plomber le moral…

Fidèle à l’adage selon lequel « les trains qui arrivent à l’heure ne font pas la Une », les media, à travers le monde, ont une forte propension à privilégier les nouvelles négatives à celles plus légères et positives.

« Année après année, et malgré de nombreuses prises de conscience et des tentatives diverses de faire de notre environnement médiatique un espace moins anxiogène, la mauvaise nouvelle reste l’accroche majeure quel que soit le media », commente Alexis Noal, Vice-Président chez ComCorp et responsable de l’étude.

« Il serait simpliste de reporter la faute sur les media en eux-mêmes mais il convient plutôt de s’interroger de ce que cela révèle de nos sociétés et de notre curiosité morbide. Nombre de psychologues et de philosophes se sont penchés sur ce sujet mais il serait intéressant d’entamer une réflexion plus globale sur les ressorts de l’audience médiatique et sur pourquoi la mauvaise nouvelle est souvent un gros titre et la bonne, juste un encart. »

CC__BadNews_France_Website1

Conduite sur le mois de mars dans 6 pays, l’étude, menée par les agences de relations media du réseau WIN PR Group, révèle quelques disparités selon les géographies mais la tendance globale est toujours en faveur de la mauvaise nouvelle.

DES RÉSULTATS GLOBAUX PAR PAYS ÉVOCATEURS

Tous media confondus, nous obtenons les classements suivants :

CC__BadNews_France_Website2bis

LA PRESSE ÉCRITE PLUS PESSIMISTE QUE LA TÉLÉ ET LA RADIO

Globalement, on constate que la presse écrite titre à 43 % de façon négative comparé à 33 % pour la télévision et 25 % pour la radio. C’est pourtant également la radio qui est la moins positive avec seulement 26 % d’annonces positives contre 36 % pour la presse écrite et 38 % pour la télévision qui s’avère être la plus positive.

CC__BadNews_France_Website3

En France, ce palmarès est respecté avec la télévision positive à 24 % (vs 17 % pour la presse écrite et la radio) et la presse écrite négative à 39 % (vs 35 % pour la radio et la télé).

CC__BadNews_France_Website4bis

Téléchargez le communiqué de presse 

Être journaliste en 2019

Journaliste, un sacerdoce entre passion et désenchantement

À l’heure où le mouvement des gilets jaunes cristallise une certaine défiance envers les media, ComCorp, agence conseil en réputation, a réalisé une étude* portant sur les conditions de travail et le moral des journalistes. 

« Se dresse le portrait d’une profession en difficulté croissante qui peine à concilier la passion d’un « métier-vocation » avec des conditions de travail de plus en plus précaires et une crise de confiance croissante de la part de ses concitoyens », commente Alexis Noal, Vice-Président chez ComCorp et responsable de l’étude.

Des conditions de travail qui se dégradent toujours un peu plus 

ENQUETE_CC_2019_02

Manque de moyens, de temps, de ressources, charge de travail qui explose, ce sont 70,55 % des 550 répondants qui déclarent que leurs conditions de travail se sont détériorées ces dernières années.

Beaucoup de journalistes déplorent la disparition des secrétariats de rédaction, des documentalistes, bref, de nombre de fonctions « support » qui font que le journaliste devient un véritable homme-orchestre qui, en plus de la collecte et du traitement de l’information, doit assurer relecture, maquettage, publication, correction, etc.

Symbole de cette dégradation : la proportion croissante des pigistes au sein des rédactions. Alors que la proportion de pigistes est globalement de 25,5 %, elle représente désormais 71,3 % des premières demandes de cartes de presse (contre 33 % en 2000**).

Viennent s’ajouter à ces contraintes matérielles, tout un ensemble de contraintes psychologiques qui conduisent 42 % à déclarer ne pas être libres d’exercer leur métier tel qu’ils le voudraient. Première contrainte : un rythme de production toujours plus élevé associé à une recherche du « buzz » permanente. Pour près de la moitié, les réseaux sociaux ajoutent également une forme de « concurrence déloyale » avec des personnes sans déontologie ni éthique, diffuseurs d’informations non vérifiées et qui deviennent des sources d’information aux yeux du grand public.

La thématique des « fake news » est d’ailleurs mise en avant comme ayant eu un impact majeur ou important sur la confiance que les Français font aux media pour 70 % des répondants.

Désamour et inquiétudes pour le futur 

Si on ajoute à ces facteurs le fait que près de 88 % des journalistes estiment que la profession de journaliste n’est désormais plus valorisée par les Français, il est logique que ressorte un pessimisme global sur les perspectives professionnelles réservées par leur profession (70 % n’ont aucune confiance en leur avenir professionnel) et plus de la moitié pense que les media traditionnels sont condamnés.

Il est d’ailleurs frappant de constater que seulement 32 % des journalistes déclarent ne pas envisager de se réorienter professionnellement contre 40 % qui l’envisagent et 17 % qui avouent déjà exercer une autre activité en parallèle.

Un métier qui allie passion et sens 

Mais le journalisme est une vocation qui n’est pas sans générer certains paradoxes. En effet, alors que 57 % ne recommanderaient pas à un jeune de se lancer dans des études de journalisme, ils restent une grande majorité (74 %) à réaffirmer que, si le choix leur était donné aujourd’hui, ils referaient la même carrière !

Et lorsqu’on leur demande de définir leur profession, les journalistes mettent en avant avec vigueur la passion qui les anime et la quête de sens qui habite ce « job pas comme les autres ». Au-delà des difficultés rencontrées, le journaliste continue donc de vivre sa mission d’information comme indispensable à la bonne marche de notre démocratie.

« Et si vous deviez résumer votre profession en un mot ? » 

Webp.net-resizeimage

* Étude en ligne réalisée en février 2019 auprès de 550 journalistes français.

** Source CCJIP 2019

Téléchargez l’infographie complète 

Téléchargez le communiqué de presse 

C’est la rentrée, nos stagiaires ont du talent

On a demandé à nos stagiaires ce qu’ils pensaient de leur stage chez ComCorp. Entre bonne surprise et minute de solitude, retour sur une belle expérience.

On laisse le micro à Louise, Yann et Constant !

Comment renouer avec la confiance ?

En 2004, 57,7% des consommateurs indiquaient faire confiance aux grandes marques, aujourd’hui, ils ne sont plus que 27%.

Le mot est lâché « confiance », sa définition est très explicite : croyance acquise en la valeur morale, affective, professionnelle … d’une autre personne, qui fait que l’on est incapable d’imaginer de sa part tromperie, trahison ou incompétence.

Une entreprise/marque est une personne et plus le produit/service est impliquant plus l’acheteur a besoin d’avoir confiance, car l’erreur peut coûter très cher.

Cette notion qui peut paraître ancienne, met au placard la communication spectacle, la communication disruption et bien d’autres basées principalement sur l’impact et la notoriété, qui est nécessaire mais pas suffisant. L’entreprise en est consciente mais se demande souvent comme aborder ce changement de paradigme.

Chez ComCorp, nous mettons la confiance au cœur de notre réflexion et toute action est construite autour de cet objectif indispensable à une réussite pérenne. Cela demande du courage, de la sincérité, des questionnements, voire une remise en cause, mais croyez-en notre expérience dans la plupart des cas que nous avons traités, l’entreprise avait tous les atouts nécessaires, notre travail a été de les découvrir, de les mettre en exergue, de les partager et d’en faire son credo et un réel avantage compétitif.

La communication est morte, vive la conversation.

Plus personne ne se contente d’être informé, tout le monde veut comprendre, discuter, adhérer. L’entreprise pérenne et rentable est celle qui réussit à créer un lien, une proximité avec ses publics. Plus ils vous connaissent, plus ils vous apprécient et vous font confiance.

Aujourd’hui beaucoup d’informations circulent, bonnes comme mauvaises, votre marque peut, à tout moment, en être la cible. Si vous avez su l’anticiper en créant cette confiance, vos publics seront vos premiers défenseurs.

Chez ComCorp, nous en sommes tellement convaincus que toutes les actions pour nos clients sont conçues et mises en oeuvre pour atteindre cet objectif.

Journée européenne de l’obésité … 

ComCorp vous présente le film publicitaire réalisé pour le CNAO avec la contribution de J&J Medical Devices